Témoignage de Fabrice Jourdain, manager du PSBC
Paris Sud

Ton profil en quelques mots : âge, parcours professionnel

Fabrice, j’ai 54 ans. Je suis directeur commercial depuis plus de 20 ans dans différentes entreprises liées à la mode et à l’équipement de la personne en général et au e-commerce. Depuis 2 ans, j’ai créé mon entreprise pour faire réussir les chefs d’entreprise de ma région en devenant directeur commercial à temps partagé. Cette activité continue de se développer et les résultats sont excellents. Elle est menée sous la franchise « Bras droit des dirigeants »

Claire a un profil d’assistante de direction et organise tous les évènements. Elle est l’âme du club. L’importance du détail fait la force du club et Claire veille à ne voir aucun grain de sable venir gripper son bon fonctionnement. Du bâtiment à l’industrie paramédicale en passant par la fabrication d’instruments de musique, Claire a endossé tous les rôles opérationnels d’une assistante de direction au sein d’une PME ; DRH, comptabilité, gestion commerciale, relances … tout ce qui est très utile voir indispensable pour le PSBC

Quelles craintes avaient tu au démarrage ? les as-tu encore ?

Je n’avais pas vraiment de crainte. Juste la conscience du travail à mener et des souhaits et espérances sur les résultats. Une conviction forte : le besoin de construire un réseau de dirigeants d’entreprises hors prestataires de service, sur ma région.

Aujourd’hui, même si je trouve que le nombre des membres n’est pas encore à la hauteur de ce que j’attendais, le club ressemble à ce que j’imaginais : convivialité, bienveillance, business et des intervenants exceptionnels.

Quelle est la plus grande difficulté pour démarrer ?

Trouver le bureau de l’association, faire connaitre l’association, se démarquer de toutes les sollicitations des chefs d’entreprise, les faire venir une fois, après c’est facile.

Quelles sont tes satisfactions/ déceptions quelques mois après le lancement de ton club ?

Satisfactions : Ambiance, qualité des intervenants, satisfaction et sentiment d’appartenance des adhérents, business créé entre les membres, sourires.

Déceptions : vitesse de déploiement, difficulté à faire faire quelques kilomètres à des dirigeants d’entreprise en Ile de France malgré leur intérêt pour le PSBC

Quelles sont les recommandations que tu ferais à un futur franchisé ?

C’est une vraie activité professionnelle à part entière et les dirigeants qui adhèrent méritent que l’on s’occupe bien d’eux. Le temps à y consacrer est important et nous ne sommes pas trop de 2

La relation avec le franchiseur, est elle conforme à tes attentes ?

La relation est très amicale et bienveillante. L’exemple de réussite des clubs fondateurs du concept est motivant et permet une vraie vision des objectifs à atteindre.

Le développement du nombre de franchises permet une meilleure couverture du territoire et une notoriété grandissante. Tout cela est très encourageant et incite même à désirer lancer la création d’un nouveau club

Potentiel de développement ?
Le potentiel de développement en Ile de France est important et complexe à conquérir mais on s’y attèle tous les jours.

Point mort à quel moment a-t-il franchi ?

Une petite année nous aura été nécessaire pour l’atteindre.

Est-ce que cette activité est bénéfique pour ton business ?

Je ne souhaite pas brouiller les pistes et ne suis pour les membres du club que l’animateur. Peu d’entre eux connaissent mon métier d’origine et c’est très bien comme ça. Dire que cela n’a rien apporté du tout serait mentir mais, finalement, en permettant par le biais du club à initier du business entre ses membres, je fais mon métier d’accélérateur de performance commerciale.