Témoignage de Sébastien Barrier, manager du BABC

2020-03-04T16:36:38+01:00

Témoignage de Sébastien Barrier, manager du BABC Ton profil en quelques mots : âge, parcours professionnel Fabrice, j’ai 54 ans. Je suis directeur commercial depuis plus de 20 ans dans différentes entreprises liées à la mode et à l’équipement de la personne en général et au e-commerce. Depuis 2 ans, j’ai créé mon entreprise pour faire réussir les chefs d’entreprise de ma région en devenant directeur commercial à temps partagé. Cette activité continue de se développer et les résultats sont excellents. Elle est menée sous la franchise « Bras droit des dirigeants » Claire a un profil d’assistante de direction et organise tous les évènements. Elle est l’âme du club. L’importance du détail fait la force du club et Claire veille à ne voir aucun grain de sable venir gripper son bon fonctionnement. Du bâtiment à l’industrie paramédicale en passant par la fabrication d’instruments de musique, Claire a endossé tous les rôles opérationnels d’une assistante de direction au sein d’une PME ; DRH, comptabilité, gestion commerciale, relances … tout ce qui est très utile voir indispensable pour le PSBC Quelles craintes avaient tu au démarrage ? les as-tu encore ? Je n’avais pas vraiment de crainte. Juste la conscience du travail à mener et des souhaits et espérances sur les résultats. Une conviction forte : le besoin de construire un réseau de dirigeants d’entreprises hors prestataires de service, sur ma région. Aujourd’hui, même si je trouve que le nombre des membres n’est pas encore à la hauteur de ce que j’attendais, le club ressemble à ce que j’imaginais : convivialité, bienveillance, business et des intervenants exceptionnels. Quelle est la plus grande difficulté pour démarrer ? Trouver le bureau de l’association, faire connaitre l’association, se démarquer de toutes les sollicitations des chefs d’entreprise, les faire venir une fois, après c’est facile. Quelles sont tes satisfactions/ déceptions quelques mois après le lancement de ton club ? Satisfactions : Ambiance, qualité des intervenants, satisfaction et sentiment d’appartenance des adhérents, business créé entre les membres, sourires. Déceptions : vitesse de déploiement, difficulté à faire faire quelques kilomètres à des dirigeants d’entreprise en Ile de France malgré leur intérêt pour le PSBC Quelles sont les recommandations que tu ferais à un futur franchisé ? C’est une vraie activité professionnelle à part entière et les dirigeants qui adhèrent méritent que l’on s’occupe bien d’eux. Le temps à y consacrer est important et nous ne sommes pas trop de 2 La relation avec le franchiseur, est elle conforme à tes attentes ? La relation est très amicale et bienveillante. L’exemple de réussite des clubs fondateurs du concept est motivant et permet une vraie vision des objectifs à atteindre. Le développement du nombre de franchises permet une meilleure couverture du territoire et une notoriété grandissante. Tout cela est très encourageant et incite même à désirer lancer la création d’un nouveau club Potentiel de développement ? Le potentiel de développement en Ile de France est important et complexe à conquérir mais on s’y attèle tous les jours. Point mort à quel moment a-t-il franchi ? Une petite année nous [...]

Témoignage de Sébastien Barrier, manager du BABC2020-03-04T16:36:38+01:00

Témoignage de Laurent Monnet

2020-03-06T14:55:29+01:00

Témoignage de Laurent Monnet Peux-tu te présenter en quelques mots 50 ans, marié et 2 enfants, je suis très investi au sein de mes 2 entreprises : une agence évènementielle et une jeune franchise dans les métiers de l’esthétique. Passionné par la transmission, j’enseigne également en Licence et Master Marketing. Comment es-tu devenu franchisé Business Club Group ? Par envie. La force du concept, l’accès à des intervenants qui permet d’établir une programmation de qualité, ainsi que le rythme (1 déjeuner par mois) compatible avec mes activités préexistantes, m’ont permis de me projeter dans cette aventure. Mais également par rencontre. Lorsque je me suis intéressé au projet et à ses modalités, j’ai sollicité le franchiseur afin d’obtenir tous les renseignements nécessaires. J’ai été impressionné par la cohérence des éléments qui m’étaient exposés, associé à une simplicité dans la relation Ces deux éléments ont été décisifs. Quelles étaient tes craintes au démarrage du projet ? Nous avons créé le 1er Business Club en Rhône Alpes à Lyon, ville de réseau s’il en est ! Qui plus est assez éloignée du berceau originel des Business Club. Nos craintes étaient réelles. Autant dire que nous nous sommes attachés à appliquer à la lettre la méthode du franchiseur afin d’implanter et développer le club. Le LRBC a été créé en Décembre 2018, quel est ton bilan après 14 mois d’activité ? Il est clairement très positif ! Le club compte aujourd’hui près de 80 membres actifs et nos déjeuners réunissent désormais plus de 100 convives. Avec le travail fourni, le développement commercial s’est effectué de façon satisfaisante et régulière. Forts de ce succès, nous avons depuis ouvert successivement les clubs de Grenoble et de Valence. Cette activité prend de plus en plus de place au sein de notre structure, avec l’avantage de procurer un revenu récurent. Et puis, il y a une réelle dimension de plaisir à organiser mais surtout animer les déjeuners mensuels, à retrouver les membres dans la convivialité. Peux-tu nous parler de ta relation avec le franchiseur ? Elle est très fluide et partenariale. Que ce soit dans la programmation des intervenants, dans la mécanique mise en place, le soutien et l’accompagnement sont réels. Quels conseils pourrais-tu donner aux futurs franchisés du réseau ? Venez nous voir !

Témoignage de Laurent Monnet2020-03-06T14:55:29+01:00

Témoignage de Fabrice Jourdain, manager du PSBC

2020-03-11T09:11:59+01:00

Témoignage de Fabrice Jourdain, manager du PSBC Paris Sud Ton profil en quelques mots : âge, parcours professionnel Fabrice, j’ai 54 ans. Je suis directeur commercial depuis plus de 20 ans dans différentes entreprises liées à la mode et à l’équipement de la personne en général et au e-commerce. Depuis 2 ans, j’ai créé mon entreprise pour faire réussir les chefs d’entreprise de ma région en devenant directeur commercial à temps partagé. Cette activité continue de se développer et les résultats sont excellents. Elle est menée sous la franchise « Bras droit des dirigeants » Claire a un profil d’assistante de direction et organise tous les évènements. Elle est l’âme du club. L’importance du détail fait la force du club et Claire veille à ne voir aucun grain de sable venir gripper son bon fonctionnement. Du bâtiment à l’industrie paramédicale en passant par la fabrication d’instruments de musique, Claire a endossé tous les rôles opérationnels d’une assistante de direction au sein d’une PME ; DRH, comptabilité, gestion commerciale, relances … tout ce qui est très utile voir indispensable pour le PSBC Quelles craintes avaient tu au démarrage ? les as-tu encore ? Je n’avais pas vraiment de crainte. Juste la conscience du travail à mener et des souhaits et espérances sur les résultats. Une conviction forte : le besoin de construire un réseau de dirigeants d’entreprises hors prestataires de service, sur ma région. Aujourd’hui, même si je trouve que le nombre des membres n’est pas encore à la hauteur de ce que j’attendais, le club ressemble à ce que j’imaginais : convivialité, bienveillance, business et des intervenants exceptionnels. Quelle est la plus grande difficulté pour démarrer ? Trouver le bureau de l’association, faire connaitre l’association, se démarquer de toutes les sollicitations des chefs d’entreprise, les faire venir une fois, après c’est facile. Quelles sont tes satisfactions/ déceptions quelques mois après le lancement de ton club ? Satisfactions : Ambiance, qualité des intervenants, satisfaction et sentiment d’appartenance des adhérents, business créé entre les membres, sourires. Déceptions : vitesse de déploiement, difficulté à faire faire quelques kilomètres à des dirigeants d’entreprise en Ile de France malgré leur intérêt pour le PSBC Quelles sont les recommandations que tu ferais à un futur franchisé ? C’est une vraie activité professionnelle à part entière et les dirigeants qui adhèrent méritent que l’on s’occupe bien d’eux. Le temps à y consacrer est important et nous ne sommes pas trop de 2 La relation avec le franchiseur, est elle conforme à tes attentes ? La relation est très amicale et bienveillante. L’exemple de réussite des clubs fondateurs du concept est motivant et permet une vraie vision des objectifs à atteindre. Le développement du nombre de franchises permet une meilleure couverture du territoire et une notoriété grandissante. Tout cela est très encourageant et incite même à désirer lancer la création d’un nouveau club Potentiel de développement ? Le potentiel de développement en Ile de France est important et complexe à conquérir mais on s’y attèle tous les jours. Point mort à quel moment a-t-il franchi ? Une petite [...]

Témoignage de Fabrice Jourdain, manager du PSBC2020-03-11T09:11:59+01:00

Témoignage de Nathalie Hénault

2020-03-10T16:52:51+01:00

Témoignage de Dominique Lebrun Manager du CABC et MABC Reims et Sedan Peux-tu te présenter en quelques mots ? J’ai 47 ans et je suis dans le monde de l’entreprise depuis le début de ma carrière : j’ai dirigé pendant 20 ans un groupe familial d’une cinquantaine de salariés spécialisé dans le génie climatique. J’ai décidé début 2017 de quitter cette structure et de créer une activité indépendante de conseil en stratégie auprès d’une clientèle de PME, en m’appuyant sur mon expérience dans ce domaine. Comment es-tu devenu franchisé Business Club Group ? J’étais convaincu de la qualité du concept car mon ancienne entreprise était membre de l’Artois Business Club ; au cours d’un déjeuner en octobre 2017, Olivier TALBERT m’a proposé d’étudier la création d’une franchise sur le territoire de la Somme. Nous nous sommes rencontrés quelques jours plus tard et tout est allé très vite. On dit souvent qu’un projet d’entreprise est avant tout une aventure humaine : Olivier et moi nous sommes retrouvés sur des valeurs communes et une confiance réciproque s’est immédiatement installée dans notre relation. Le lendemain de ce rendez-vous, je confirmais mon accord pour créer le Somme Business Club. Quelles étaient tes craintes au démarrage du projet ? Ma méconnaissance du territoire ! je suis originaire du Nord et mon réseau dans la Somme était quasi-inexistant. Mais j’ai finalement réussi à en faire une force : j’arrivais sur un territoire « vierge » et j’ai dû redoubler d’efforts pour me créer un réseau. Malgré l’existence de nombreux clubs d’entreprises sur le territoire, l‘originalité et la qualité du concept m’ont permis de convaincre les premiers adhérents. Le SBC a été créé en avril 2018, quel est ton bilan après 5 mois d’activité ? Il est plus que positif ! Le club compte déjà 60 membres et bénéficie d’une bonne dynamique. Les objectifs fixés initialement vont être largement atteints. A titre personnel, cette nouvelle activité répond parfaitement à mes attentes : le développement commercial est beaucoup plus facile que je ne l’imaginais grâce à l’originalité du concept, je rencontre des entreprises de tous horizons, et je prends énormément de plaisir dans l’animation du déjeuner mensuel. Le bon démarrage du SBC m’a d’ailleurs convaincu d’en faire une activité à part entière et Isabelle mon épouse m’a rejoint pour m’aider dans le développement : depuis juillet 2018 nous avons repris la franchise du Flandre Audomarois Business Club basé à St Omer, et nous préparons la création d’un nouveau club sur le littoral (Calais-Dunkerque) qui verra le jour début 2019. Peux-tu nous parler de ta relation avec le franchiseur ? Elle est excellente. Business Club Group est une véritable « machine de guerre » ! Olivier a su s’entourer d’une équipe compétente et disponible et de prestataires de qualité. Les process sont parfaitement maitrisés et le franchiseur cherche en permanence à les améliorer. Et pour ne rien gâcher, l’équipe est sympa ! Quels conseils pourrais-tu donner aux futurs franchisés du réseau ? Avant tout, de respecter le concept à la lettre ! Il a fait ses preuves dans les clubs historiques, il faut donc capitaliser sur [...]

Témoignage de Nathalie Hénault2020-03-10T16:52:51+01:00

Témoignage de Laurent Monnet Manager du LRBC, ISBC et DABC

2020-03-19T16:36:20+01:00

Témoignage de Laurent Monnet Manager du LRBC, ISBC et DABC Lyon, Grenoble et Valence Peux-tu te présenter en quelques mots 50 ans, marié et 2 enfants, je suis très investi au sein de mes 2 entreprises : une agence évènementielle et une jeune franchise dans les métiers de l’esthétique. Passionné par la transmission, j’enseigne également en Licence et Master Marketing. Comment es-tu devenu franchisé Business Club Group ? Par envie. La force du concept, l’accès à des intervenants qui permet d’établir une programmation de qualité, ainsi que le rythme (1 déjeuner par mois) compatible avec mes activités préexistantes, m’ont permis de me projeter dans cette aventure. Mais également par rencontre. Lorsque je me suis intéressé au projet et à ses modalités, j’ai sollicité le franchiseur afin d’obtenir tous les renseignements nécessaires. J’ai été impressionné par la cohérence des éléments qui m’étaient exposés, associé à une simplicité dans la relation Ces deux éléments ont été décisifs. Quelles étaient tes craintes au démarrage du projet ? Nous avons créé le 1er Business Club en Rhône Alpes à Lyon, ville de réseau s’il en est ! Qui plus est assez éloignée du berceau originel des Business Club. Nos craintes étaient réelles. Autant dire que nous nous sommes attachés à appliquer à la lettre la méthode du franchiseur afin d’implanter et développer le club. Le LRBC a été créé en Décembre 2018, quel est ton bilan après 14 mois d’activité ? Il est clairement très positif ! Le club compte aujourd’hui près de 80 membres actifs et nos déjeuners réunissent désormais plus de 100 convives. Avec le travail fourni, le développement commercial s’est effectué de façon satisfaisante et régulière. Forts de ce succès, nous avons depuis ouvert successivement les clubs de Grenoble et de Valence. Cette activité prend de plus en plus de place au sein de notre structure, avec l’avantage de procurer un revenu récurent. Et puis, il y a une réelle dimension de plaisir à organiser mais surtout animer les déjeuners mensuels, à retrouver les membres dans la convivialité. Peux-tu nous parler de ta relation avec le franchiseur ? Elle est très fluide et partenariale. Que ce soit dans la programmation des intervenants, dans la mécanique mise en place, le soutien et l’accompagnement sont réels. Quels conseils pourrais-tu donner aux futurs franchisés du réseau ? Venez nous voir !

Témoignage de Laurent Monnet Manager du LRBC, ISBC et DABC2020-03-19T16:36:20+01:00

Témoignages de Dominique Lebrun, manager du CABC et du MABC

2020-03-10T17:03:45+01:00

Témoignages de Dominique Lebrun, manager du CABC et du MABC Business Club : une aventure qui démarre tout schuss ! C’était un mardi, le 19 avril 2016 pour être précis. Je m’étais enfin décidé à suivre les conseils d’une de mes très bonnes amies, Stéphanie, qui m’avait parlé d’un concept né dans le Nord qu’il fallait à tout prix que j’aille découvrir puisque ses créateurs cherchaient des candidats pour dupliquer le modèle ici et là et pourquoi pas en Champagne-Ardenne. Ce 19 avril il faisait soleil sur le Golf de Bondues. L’invité du jour s’appelait Edgar Grospiron ! Un mec qui fonce droit devant sans se poser de questions ! Comme un clin d’œil pour me démontrer qu’il fallait que je bouscule ma routine, onze ans après avoir déjà quitté le confort du salariat pour me lancer à mon compte. Au terme de ce déjeuner, j’ai échangé avec les deux Olivier mais j’ai surtout discuté avec Olivier Talbert, là encore comme un signe avant-coureur. Trois jours plus tard (il ne faut jamais avoir l’air trop enthousiaste…) je faisais, par courrier, acte de candidature en proposant de lancer le club en… octobre car j’avais avant ça de gros dossiers à gérer et l’été se profilait. Je revenais quand même le 10 mai au Golf de Bondues où Dorine Bourneton était invitée pour compléter ma vision de ce type de rendez-vous et éclaircir quelques légitimes questions. Avec le recul et dans la mesure où j’allais devenir le premier franchisé, le délai était court surtout peut être d’ailleurs pour le Business Group mais tout s’est mis en place sans véritable difficulté. Aventure humaine Nous avons signé le document actant notre accord le 24 août. J’ai trouvé le lieu du rendez-vous mensuel (le stade Delaune) et mon bureau (le président n’a pas été simple à décider mais ne l’a jamais regretté) dans la foulée et la soirée de lancement du CABC (Champagne-Ardenne Business Club) a eu lieu le 17 octobre devant 150 décideurs. Le 24 novembre, Yohann Diniz, parrain du club, inaugurait le cycle des déjeuners face à 79 convives. L’histoire était en marche et elle ne m’a apporté que des satisfactions avec des rencontres exceptionnelles avec des intervenants qui sont le plus souvent des personnalités rares et attachantes. Le CABC est rapidement devenu un réseau référence à Reims puisque pour le premier anniversaire, nous fêtions notre centième membre. Le CABC est aussi une formidable épopée humaine avec Stéphanie et Peggy qui m’accompagnent depuis le début mais aussi plus largement l’équipe du Business Club autour de Peggy et d’Olivier quoi sont, l’un et l’autre, de précieux conseils. Depuis, l’aventure a fait un petit puisque le MABC (Made in Ardennes Business Club) a vu le jour avec un premier déjeuner le 1er juin 2018 dans le cadre magique du château-fort de Sedan. Stéphanie et Isabelle m’accompagnent dans ce projet qui me tenait à cœur dans mon département natif même si les conditions économiques sont indéniablement plus complexes qu’à Reims. Dans le même temps, en [...]

Témoignages de Dominique Lebrun, manager du CABC et du MABC2020-03-10T17:03:45+01:00